Robe des champs

Le patron de la robe Bleuet, c’est celui qui m’avait fait le plus envie au premier coup d’œil quand j’ai découvert Deer & Doe. Seulement, il est indiqué niveau avancé, donc pour une fois je m’étais méfiée, et j’avais commencé par Belladone.

Mais bon, j’erre par ci par là sur internet à la pause midi, et la je vois 1) le tissu rose à fleurs et 2) une version de la robe avec un col officier. Un coup de carte bleue, et le tissu est commandé… Et puis après, un samedi boutique, je fouille un peu dans les boutons, et là je vois des lions argentés, aaaaaaaaah il me les faut !! Thermocollant en poche (« Bonjour, je voudrais du thermocollant, mais je ne sais pas ce que c’est ! ») et le tour est joué, toutes les fournitures sont là.

C’est très très beauuuuuuu

Ah oui et aussi, ce sera une version sans manches car je pense que ça sera très harmonieux avec ce fameux col… PROBLÈME (et premier doute) : c’est l’automne, et dans ma montagne il fait déjà très froid…

Allez tant pis, advienne que pourra !

Alors j’avais un deuxième gros doute : puis-je faire la robe dans mon tissu rose tout fin sans la doubler ? Oui, non, oui, non, bon, réfléchissons à un moyen de doubler, bon c’est trop compliqué, donc, n dit que le tissu n’est pas trop fin ! (j’avoue que je garderai quand même un doute jusqu’à la fin !)

C’est parti donc, découpe des pièces en adaptant mes fesses et ma poitrine 34 à ma taille 38 (je suis vraiment une fille tube !). Les petits soucis commencent quand je monte les premières pièces : je les ai montées à l’envers… Rhoo la honte !! oui mais bon quand on fonce sans trop réfléchir, il se passe des petites surprises…! Bon, donc, je découds (au ciseau, car je n’ai pas de découds vite), et le lendemain soir c’est reparti…. Et là j’ai la pression, car le tissu marque beaucoup et donc il reste vraiment les trous de mes erreur, il va falloir faire très attention…

Moi qui ne savais absolument pas ce que c’était une découpe princesse, j’ai vite appris. Une découpe princesse, c’est le truc relou car arrondi, et donc super chiant car quand tu fais pas attention, tu prends des plis dans ta couture. Découds vite.

Par contre, une fois monté, c’est super joli car ça cintre  sans les pinces ! Voui voui voui !

Ensuite, pour finir l’emmanchure, j’ai fait un genre de bande de biais que j’ai cousu au point d’ourlet pour que ce soit invisible. Je pense que c’est pas trop moche.

Nous arrivons donc au col. Il y a un site génial où la technique est bien expliquée, il me manquait juste un patron. Rien que ça. Donc j’ai pris une robe style japonais qui avait ce genre de col, et j’ai recopié la forme. Et puis j’ai fait mon calque avant de me rendre compte que j’avais oublié d’adapter à la longueur de mon encolure…. Parfait… On refait…

Je l’ai thermocollé, oui oui, c’est très facile en fait ! Et je l’ai monté en suivant les instructions d’internet. Et là, miracle. C’était joli.

Voilà qui nous amène à jeudi soir dernier. Arrive vendredi, et le train d’Izbee qui était en retard, donc bon, allez, je me lance dans les boutonnières. Alors, où est le mode d’emploi de la machine ? Une fois retrouvé sous l’empilement de choses et d’autres de ma table, je me lance. Au début je n’y comprenais rien car je regardais le schéma en face des instructions, alors qu’il faut regarder celui de la page d’avant (logique !!)… Bon je teste, ça semble marcher. Ah, merde, j’ai plus de fil rose. Bon que fais-je ? Tant pis je mets du blanc et je dirai que c’est fait exprès pour trancher. Donc je fais mes 14 boutonnières, je vérifie l’heure, c’est bon, je suis large, il reste juste à cuire les naans, tout va bien. Les boutonnières me semblent quand même très resserrées au centre, j’ai l’impression que je ne vais pas arriver à les ouvrir proprement. J’essaie la première, catastrophe ! Comme je n’ai que mes ciseaux, j’ai recoupé des fils du côté…………. Bon, je file à la gare.

La nuit je rêve que je rate mes boutonnières.

Du coup le lendemain, je profite des courses pour acheter un découds vite (rose)… Et là, c’est bon, ça ouvre comme il faut !!

Comme le soir on mangeait au restaurant, je me dis qu’il faut absolument que je couse tous mes boutons pour pouvoir la porter, car il fait beau et chaud, l’été est revenu ! Je couds, je couds mes 14 boutons, je surveille le match d’un œil mais c’est bon, on domine Castres. Et vers 17h, tadam ! La robe est toute prête !! Et je suis très très fière !!! (et non, elle n’est pas transparente !!)

Sans trompettes ni tambours, la robe portée, 1 minute après avoir mis le dernier bouton, avec en toile de fond mon ligne qui sèche. Charmant intérieur.

Tadam !

Robe Belladone, par Deer and Doe.

Tissu gabardine pistache et biais liberty Mitsi (chez Cousette)

Je n’ai rien changé au patron, si ce n’est l’ajout de mes petites erreurs – probablement en modifiant les tailles, et hop ! des petites erreurs d’inattention… J’ai juste raccourci dramatiquement la jupe (10,5 cm) et ajouté un tout petit noeud sur le corsage avec mon reste de biais… Et voilà !

Ce que je préfère finalement, c’est la forme de la jupe… C’était ce qui m’avait plus en premier en voyant le modèle (eh non, ce n’était pas l’ouverture du dos ! Quoique, bon, faut avouer c’est trop mignon aussi…) Elle tombe d’une très jolie manière, donc je suis bien contente d’avoir choisi un des tissus conseillés sur le site…

Mais comme je suis kamikaze, je vais la refaire avec un tissu beaucoup plus léger pour voir ce que ça donne !! Oui, parce que les gabardine et compagnie, je n’en ai trouvé que des unies, et là je voudrais la tenter avec des motifs… Et puis quand je regarde les Belladone des autres sur le net, je suis jalouse 🙂

Making Off de la partie de croquet :

Et une robe de plus, une !

Ce qui est vraiment chouette avec la couture, c’est que quand on a terminé un habit et qu’on le regarde, ou qu’on le met, on se rappelle tout ce qui s’est passé pendant la confection… Du coup il a déjà une histoire avant de le porter !

Et oui, pour la robe pistache, c’est complètement ça… Un tissu qui ne correspondait pas à ce que je voulais (le défaut de commander par internet, mais bon, quand on habite dans un trou de hobbit au fin fond de rien du tout, et qu’on veut un tissu tout de suite maintenant, on fait bien ce qu’on peut…), du coup un biais qui ne collait plus trop… Et puis, ces coutures qui ne sont pas parfaitement alignées (découds vite découds vite, bon allez ça ira comme ça) et même ce petit bout de biais qui manque (non mais je rêvais quand je l’ai cousu ou quoi ? Oui, probablement.)…

Voilà sur cette image on voit parfaitement toutes mes erreurs : les coutures décalées (elles ne sont décalées que d’un côté, allez savoir ce que j’ai trafiqué avec le patron !) et le biais manquant…

Comme je suis naine, j’ai ratiboisé la jupe de 10,5 cm pour que ça m’arrive au-dessus du genou. Et puis j’ai utilisé ce qui me restait du biais pour faire un noeud-noeud à fixer sur le corsage, pour essayer tant bien que mal de casser ce vert si vert !

Et voilà le travail ! Et donc là, je triche, car je montre la robe alors que l’ourlet n’est pas fait… Hahahahahaha ! Donc les photos portées ce sera pour plus tard, quand ce sera complètement fini et que, accessoirement, quelqu’un voudra bien me prendre en photo !

Le tiroir à projets

Je n’ai même pas fini ma robe Belladone (mais ça ne saurait tarder, puisqu’il ne manque que la fermeture à poser !) que voici fleurir par milliers les projets suivants (mais quelle poésie !) :

D’abord, encore une Belladone, mais cette fois pour Isa. Donc là, je vais éviter de refaire les petites erreurs de la mienne ! Et oui, malgré tout l’attention que j’ai prêtée à la modification des tailles, il y a eu un petit souci et toutes les coutures ne sont pas parfaitement alignées… Et il y a aussi un biais mal posé sur la poche, ce qui fait qu’il en manque un petit bout… Bon, tout ça n’est pas très grave !

La robe d’Isa sera Bordeaux (bouhhhhh) avec un joli biais à imprimé fleuri ; ça devrait être très joli ! On a pris 3 m de biais pour pouvoir faire toutes les bordures, car avec 2 m seulement comme j’ai fait, je n’ai pas pu marquer toute l’ouverture du dos…

Ensuite une robe Bleuet, le deuxième patron Deer and Doe que j’avais acheté la fois dernière. Alors là, je suis complètement tombée amoureuse de l’imprimé Mitsi rose à, s’il vous plaît, 23 euros le mètre, ARRGGGGHHHH…. Il en fallait 2 m. Elle sera sans manches, et avec un col spécial que j’ai vu sur un autre blog  :

Et enfin, si j’arrive à commander le patron « gratuit » du Modes et travaux de juillet ou août, je ne sais plus, je pourrai me lancer dans une série de débardeurs-nuisettes plus ou moins longs…

Je suis en train de faire… une robe Belladone

Je me suis mise à surfer sur les blogs couture pour trouver des idées, et j’ai découvert la star actuelle des patrons pour femme : Deer and Doe. Un très joli site internet, des patrons qui donnent envie, et à en croire les commentaires des bloggeuses, une réalisation très agréable…

Ô joie, la boutique Fifi Jolipois à Toulouse revend ces patrons… Donc j’en ai directement acheté 2, sans trop réfléchir, Belladone et Bleuet.

Du coup je me suis lancée dans la Belladone, qui est notée d’un niveau plus facile que la Bleuet. J’ai commandé sur internet le tissu : une gabardine de coton pistache, qui s’est trouvée être, quand je l’ai reçue, vraiment plutôt vert d’eau que pistache… Bon c’est pas grave, j’ai aussi acheté un joli biais (après m’être quand même renseignée sur : c’est quoi un biais ??) à motif fleuri. Je voulais vraiment rester sur le type de tissu du modèle pour avoir le même effet, et je n’ai pas trouvé de tissu (gabardine, chambray et je ne sais plus lesquels) avec des imprimés… Donc j’ai opté pour un uni.

Voilà le vert commandé sur le site internet

Et voilà ce que j’ai reçu

Bon, du coup je ne suis pas sure que ça va me plaire, mais bon ! On teste et on verra après ! Pour l’instant, j’ai quasi fini de préparer le corsage. C’est très bien expliqué, les pièces collent parfaitement et le tissu est très agréable à coudre. Dans ces patrons les marges de couture sont comprises dans la pièce, et je trouve ça vraiment plus pratique.

Pour poser le biais aussi, je pensais galérer mais ça a roulé comme sur des roulettes. Bon du coup en fait comme il ne m’est pas vraiment arrivé de mésaventures, j’ai pas vraiment d’anecdotes rigolotes à raconter. Mais bon c’est trop beau pour durer, et je pense que ça ne va pas tarder !!

La robe – Et voilà !

Nous y voilà donc… Enfin finie, une semaine, si ce n’est plus, avant la date initiale… C’est pas parfait, c’est sur, mais bon c’était quand même le premier vêtement que je fabrique seule du début à la fin, et il était noté 3 étoiles sur 5 dans le magazine (Couture, mai 2013)…

Je ne me suis dit qu’elle était réussie que quand Fatna l’a mise sur elle…. Il a ensuite suffit de quelques point de retouche pour resserrer le corsage, et le tour était joué…

Du coup, samedi dernier, gros coup de flippe, car il fallait trouver LES chaussures assorties… Heureusement nous n’étions pas moins de 5 à passer aux rayons X la moindre paire de chaussure qu’il était possible de trouver dans un rayon de 1 km depuis le Capitole (j’exagère, à peine). Hélas, soit il n’y avait pas ma pointure, soit il y avait trop de talon, ou pas assez, ou un talon trop large, ou trop fin, ou bien c’était les lanières qui étaient trop larges, bref, tout était moche.

Et là, au détour d’un André dans lequel je suis rentrée sans grande motivation, les voili les voilà !! Noir ou marron ? Ce sera marron, sur des semelles compensées en bouchon de liège. Pas soldées ? Et alors ?

Les photos de la tenue, ce sera lundi prochain !

La robe – Épisode 5, l’avant dernier ??

Aujourd’hui en avant-première voici les premières photos (merdiques à souhait) de la robe, qu’il est maintenant possible de porter sans s’épingler la peau de partout…

Photo-miroir, on a l’habitude maintenant !

Il ne reste que très peu de choses à faire, mais une assez délicate : le corsage est trop large pour moi, donc il va falloir le fixer sur la ceinture en gérant pour que le tissu en trop fasse un pli aux niveaux des coutures des côtés… (C’est la seule méthode que j’ai trouvée pour que ça soit pas trop mal)…

Ensuite :

– Faire les coutures des emmanchures (ça devrait aller)

– Surjeter la doublure du dos à la fermeture éclair (faciiiiiile !!)

Et puis, ben surement réajuster le corsage pour qu’il cintre bien…

Et après, ben ya plus qu’à la mettre, et surtout à trouver les chaussures assorties !!! Et les bracelets, les boucles d’oreille etc etc…

La Robe – Épisode 4

Et voui, à peine rentrée des Cyclades, je m’y suis déjà remise… Oui car le mariage approche à grand pas et rien n’est fini, donc… il faut se dépêcher. Soyons un peu hâtifs pour une fois !

Les photos des vacances, vous les aurez plus tard, quand j’aurai récupéré la carte mémoire de mon appareil photo, que j’ai innocemment oubliée dans la télé des parents le week end dernier…

Bien donc depuis 2 soirs je me suis lancée dans la fermeture Éclair. (D’ailleurs à cause de ça hier j’ai complètement oublié d’appeler Popo !) La fermeture part du dos et descend sous la ceinture, à peu près à 1/3 de la jupe. Déjà, pour commencer, je me suis aperçue évidemment que ma fente de jupe était trop longue (ou bien ma fermeture trop courte..?) donc il a fallu recoudre un peu les deux côtés de la jupe. Ensuite j’ai bien suivi les conseils d’internet et j’ai bâti mes deux côtés de fente, puis les ai repassés pour bien marquer le tissu. Et ensuite j’ai fixé la fermeture.

De loin on voit moins les défauts !

Bon alors, ce n’est pas vraiment vraiment propre… Mais bon pour une première fois, on va dire que ça passe (et puis à vrai dire j’ai vraiment pas envie de défaire et recommencer). On notera que à partir de la ceinture, mon point devient carrément plus petit : j’ai absolument pas compris pourquoi… Quand j’ai vu ça j’ai fait des tests sur un autre bout de tissu et là, ô magie, le point avait la longueur normale… Mystère et boule de gomme.

Le tournant du bas aussi est foiré… Mais j’ai pas bien compris comment le faire alors j’ai improvisé.

Là on voit que des deux côtés mes points n’ont pas la même longueur… Misère de misère

Bon deuxième chose qui ne me plaît pas, c’est que j’ai cousu en jaune et donc quand ça traverse la ceinture noire ça se voit. Peut-être je pourrais colorier le fil en noir, avec un feutre tiens. À la guerre comme à la guerre.

Voilà, jaune sur noir, ça ressort…

Par contre le super point positif, c’est que quand je l’essaie, ça ressemble presque à quelque chose !!! Et du coup peut être qu’il n’y aura pas besoin de retoucher la forme du corsage de devant, hier ça m’a paru pas si mal comme ça… Voilà, il reste donc si vous suivez bien l’ourlet de la jupe, et ensuite la DOUBLURE….

La robe – Épisode 3

Petit à petit, comme l’oiseau fait son nid, et la merlette aussi, la robe avance. Oui en ce moment, les merles couvent leurs oeufs, et les jeunes essaient de s’envoler mais tombent du nid, et font des proies faciles pour les chats et les pies, bref, c’est le stress.

La merlette qui a fait son nid juste au dessus de ma chambre. Elle est mignonne et me regarde quand je lui parle.

J’ai acheté ce week end les dernières fournitures pour continuer la robe, à savoir une fermeture éclair et 85 cm de ruban noir élastique facturés 70 cm (bien joué !). Avec Isa, on a essayé d’ajuster corsage et jupe pour que ça ne soit pas trop grand. Il faudra donc supprimer 2 cm de largeur sur le dos du corsage en fixant la fermeture. Oui car évidemment je suis bien mal proportionnée et ne corresponds pas à une taille standard… Donc, il faut retoucher un poil sinon ça va flotter et pas être joli !

Du coup j’ai coupé l’élastique qui fera le lien entre corsage et jupe. Hélas, pour la jupe, c’est moine simple à rattraper, car c’est sur le devant que c’est trop large (mes beaux plis de la dernière fois…!). Bon, j’ai trouvé une feinte en fixant la ceinture, j’ai fabriqué deux plis supplémentaires de chaque côté, juste avant les poches…

Encore des plis, putain, j’en peux plus !

Essayage avant de coudre. Normalement j’ai réussi à faire quelque chose d’assez symétrique… Voilà ça devrait donner ça, en beaucoup plus court évidemment car je déteste les robes/jupes longues (long = plus bas que mi-cuisse).

Premier essayage, j’ai fait l’effort d’enlever mes chaussettes pour ne pas faire trop plouc

Certes, la photo est moche, mais il fait nuit donc pas de lumière, et mon miroir s’est cassé la binette du mur donc il est un peu incliné vers le bas. J’ai la trouille de coudre cet élastique car il est épais et j’ai peur de galérer, et les plis ça me fait peur depuis la dernière fois. Donc je ferai ça demain ! Ensuite il faudra fixer le dos du corsage à la ceinture aussi. Puis la fermeture éclair, puis s’occuper de touuuuute la doublure, et puis finir par fermer le cache devant… Bon, en gros c’est bientôt fini :S

Ma lessive est finie, je vais l’étendre.

La Robe – état des lieux

Trois jours plus tard, voici où j’en suis…

J’ai cousu les deux poches cavalières sur le devant de la jupe. Ca, ça m’a pris du temps, j’ai trouvé un tutoriel sur internet qui correspondait à peu près à ce que je devais faire. C’est là où j’ai appris que « piquer » ça voulait dire coudre, et que « surpiquer » c’était coudre sur l’endroit (n’en déplaise à Isa). J’ai cru que j’allais galérer à coudre l’arrondi des poches, mais non ça s’est plutôt bien passé. J’ai pas surfilé les marges, il faudra peut être le faire.

Ma main rentre parfaitement dans cette poche. Qu’est-ce que ça a dans sa sale petite poche ?

Comme je couds devant Roland Garros, des fois je fais des bêtises. Hier, j’ai voulu faire les plis du devant de la jupe (8 plis à marquer en tout, à peine)… Déjà pour les fixer avec les aiguilles, j’ai bien mis plus d’une demie-heure, à cause de Julien Benneteau et de Roger Federer. Puis, quand j’ai cousu la ligne droit qui les tient tous, et bien j’ai cousu des faux plis en même temps… Donc il a fallu tout défaire : c’est là que je me suis aperçue que en fait je n’avais pas de découd-vite. Ensuite évidemment, c’est le recommencement : remettre les aiguilles comme il faut, recoudre… Et au deuxième coup, c’était bon !! Ouf…

Des p’tits plis, des p’tits plis, encore des p’tits plis

Prochaine étape : assembler les deux demis derrières et les deux demis devant du corsage. Jusque là ça va.