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Enfin de retour ! Encore un petit passage à vide sur ce blog, où je n’ai rien publié depuis un petit bout de temps… Bon, pour une fois, j’avais une excuse, j’étais en Mordor et je devais jeter l’Anneau (il fallait que je devienne docteur, et ça, ça m’a pris du temps, de l’argent, et des calories). Et puis ensuite Noël est très vite arrivé, avec les cadeaux faits maison à préparer…

Tout ceci nous amène finalement en 2014 et plus particulièrement au premier week end de janvier, puisqu’il EST FORMELLEMENT INTERDIT DE LA FAIRE AVANT, je parle bien sur de la galette des rois.

Hélas, ici à la Nouvelle Orléans, c’est encore plus le Nord que Clermont-Ferrand, impossible donc de trouver une vraie galette, ils n’ont que des frangipanes ou des trucs berkuss aux pépites de chocolat qui sont pas des galettes. Qu’à cela ne tienne, je vais la faire.

J’ai googlisé « Brioche des rois » donc, et j’ai utilisé une recette qui m’avait pas l’air mal, en supprimant tous les petits ajouts de mauvais goût, i.e. zestes de citron et autres fruits confits. J’ai même trouvé en grande surface du sucre en grains, même que quand j’ai dit à Izbee chéri qu’il me fallait ça, il m’a répondu « Pfff tu trouveras jamais ».

Ça m’a pris la journée, puisqu’il faut laisser la pâte plusieurs fois lever, puis la mettre au frigo etc. J’ai pétri (pauvre pauvre Pétri) à la main alors ça m’a fatiguée, mais au moins ça m’a fait mon sport de la semaine. Et oui on n’a pas de robot magique qui fait tout tout seul (et C3-PO nous a lâchés pour rentrer sur Tatooïne), ni de machine à pain donc voilà. J’ai quand même choisi l’option de diminuer toutes les quantités par 2, des fois que ce soit un fiasco total… La pâte a finalement bien levé la première fois, et puis un peu moins pendant la cuisson… Du coup on voit bien les laaaarges défauts de symétrie de ma couronne, mais bon ! j’ai juste mis un jaune d’œuf pour faire dorer et surtout pour faire tenir mes p’tits sucres, mais Izbee dit qu’il aurait préféré que je fasse une sorte de sirop, comme ils font souvent dans les boulangeries à Montpellier (mais moi je préfère comme ça).

Du coup c’était bon, ça manquait d’avoir un peu levé, mais bon ma pâte a fait sa flemmarde, que voulez-vous. En fait on a tout mangé en un jour. Cerise sur le gâteau, ou plutôt, fruit confit sur la galette, j’avais oublié de mettre la fève……..

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Qu’elle est mignonne !! Tipoupoutitipapa

 

Et oui, après avoir tant attendu (je dirais, 5 mois à peu près), l’été est enfin là !!!! Il fait beau, il fait chaud, on peut sortir en tee-shirt…! Cette fois, pas d’excuse pour rester regarder Toulouse/Montpellier à 15h, Izbee n’est là que pour 1.5 jour alors on en profite !!! Bon, j’avoue, on ne s’est pas levés aux aurores, loin de là… Mais bon, à 11h30, nous voilà prêts, et hop, en voiture direction le plateau de Germ.

Hélas, après 200m de route dans Montréjeau, notre course effrénée est stoppée nette par un flic qui se matérialise devant moi. Je dis matérialise, car avec le soleil qui m’aveuglait, je ne l’ai vu que 20m avant de l’écraser, et j’ai dû piler un peu brutalement. Bon, il a juste voulu voir mon permis, qui par miracle était dans le coffre, et là, avisant les raquettes, il n’a pas pu s’empêcher de nous donner des conseils plus ou moins avisés (« attention, la neige est dangereuse, bla bla bla bla… ».

Bon, après un détour par Saint-Béat pour montrer le chantier à Izbee, nous voilà partis vers Peyragudes. Pour être tout à fait honnête, on pensait aller à la Maison de Peyragudes, puisqu’on avait vu sur internet qu’ils donnaient des cartes de sentiers à faire en raquette gratuits. Arrivés à la station, on se serait crus dans un livre de Stephen King. Pas un chat. Il restait juste sur un parking, un vieux bus SEMVAT rouge (les bus pré AZF) qui sert apparemment à présent de navette de station… Donc, la Maison de Peyragudes était ouverte du lundi au vendredi. Bien.

Pas grave, sur ma carte Michelin, il y a les GR notés, donc on voit bien qu’il y en a un qui part du village de Germ. Donc on a qu’à faire ça et marcher jusqu’à ce qu’on en ait presque marre, et puis faire demi-tour. Je dis presque, parce qu’il faut quand même penser qu’il y a le retour, même si, comme le dit l’adage, « je crois qu’il n’y aura pas de voyage de retour, Sam ».

Germ c’est un très joli village, mais j’ai pas bien compris où se situait le plateau exactement… Nous empruntons donc le GR, avec une superbe vue sur les sommets enneigés et la vallée d’Arreau en contrebas… C’est Izbee qui porte presque tout l’équipement, moi je porte deux bâtons :

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Donc, on marche un petit peu, et puis en passant sur le versant opposé, on se retrouve sur la face nord (l’adret, ou l’ubac, donc, je ne sais plus) qui est encore partiellement enneigé… Donc, super, on chausse les raquettes (avec plus ou moins de facilité, je parle pour moi bien sur, car j’ai commencé par démonter mon bâton en deux en voulant le dévisser… bref) et nous voilà partis pour un ou deux kilomètres, je ne sais plus, mais ça montait alors les cuisses ont souffert… On s’est même fait dépasser par deux mecs en chaussures de ski qui avaient leurs skis sur le dos. Ils nous ont demandé où on allait et on s’en est assez bien sortis dans la réponse puisqu’on ne savait nous même pas exactement…. Ils nous ont dit « ah oui, vous traversez au niveau du barrage et vous faites demi tour par le GR ? » (oui, parce qu’en fait, on s’est trompés de chemin vers le début et on n’était plus sur le GR) « Ah ben oui voilà, on fait ça ! »…

Grâce à ce charmant conseil, on a traversé la rivière (mais un peu n’importe où car on n’a guère trouvé de pont) et on a récupéré le chemin en coupant dans la pente car on le voyait d’en bas. Du coup c’était rigolo car on pouvait voir nos propres traces en bas sur l’autre versant :

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Et ce à fortiori puisque j’ai trouvé une paire de jumelles sur le GR. Du coup j’ai hésité (« Tu crois que je peux les prendre ?? ») et finalement je les ai prises, car je n’ai pas de jumelles. Un jour je perdrai quelque chose que quelqu’un trouvera. Toca coca. (Bon mais du coup cette nuit j’ai rêvé que je tombais face au gars qui avait paumé ses jumelles…. BREF)

Donc voila, après on est rentrés tranquillou pilou, et on était même à l’heure au restaurant à Montréjeau le soir même…. Plus de photos ici !

C’est un fait : se vernir les ongles c’est long et compliqué. Se taper 2, voire 3 (et même des fois 4 !! si si !!) couches à appliquer, à laisser sécher… et tout ça pour souvent, le lendemain ou le surlendemain, se l’écailler malencontreusement… Bref c’est pénible.

Heureusement, la Fée Marraine a fait apparaître dans ma vie le vernis gloss Yves Rocher. Ce petit tube magique de vernis transparent, à appliquer sur la couleur, a le pouvoir non seulement de faire briller le vernis, mais de le faire résister au moins une semaine. Et ce n’est pas négligeable quand on va sur le terrain. Exemple :

Ma vie est maintenant 1000 fois plus simple.

Au menu ce dimanche :

Toasts à la purée d’avocat

Gratin au riz et poireaux

Tarte aux pommes

Pour réaliser ces recettes, il vous faut : une grande cuisine et 2 copines de bonne humeur…!

 

Les toasts à la purée d’avocat :

Écraser 3 avocats, ajouter le jus de 1 ou 2 citron(s) vert(s) selon les goûts – 2 moi j’ai trouvé un peu trop citronné -, deux échalotes hachées très finement et une tomate coupée en dés. Ajouter une goutte de tabasco, un peu de sel, un peu de poivre ! C’est déjà prêt… Mettre au frais quelques minutes, et servir sur des toasts grillés…

 

Le gratin riz-poireaux :

Émincer un oignon et le faire fondre à la poêle. Émincer 3 poireaux et une tomate, et les ajouter dans la poêle. Faire bien mijoter. Faire cuire du riz. Dans un plat à gratin, répartir les 3/4 du riz au fond du plat, ajouter les légumes fondus, et recouvrir par le reste du riz. Découper une buchette de chèvre et la disposer par dessus. Faire gratiner au four.

La tarte aux pommes :

Pour la pâte : mélanger à la main 300g de farine, 20g de sucre et 150g de beurre. Pétrir jusqu’à obtenir une boule de pâte (au besoin, ajouter un peu d’eau).

Étaler la pâte dans un moule à tarte (ou pas), la piquer à la fourchette et la mettre au four 10 minutes. Étaler sur le fond de pâte de la confiture cassis-framboise de Mamie. Peler les pommes et répartir les quartiers sur la confiture. Là on aurait pu rajouter par dessus un peu de compote de pommes… Faire cuire 30 minutes à 180°C…

 

Je vous prie de croire qu’on a vraiment bien mangé…!!!

Et oui ! J’ai repeint mes petites tables moches IKEA. En fait, ce ne sont pas mes tables, elles étaient livrées avec l’appartement. Elles étaient blanches et avaient un peu souffert (abîmées et gondolées par l’eau) – tiens, d’ailleurs, pourquoi gondolées par l’eau ? Il ne pleut jamais ici à Montpellier…

Donc, Émilie m’ayant gracieusement donné le pot de peinture qui lui restait sur les bras, Père un porte rouleau et Mère des pinceaux, me voici toute équipée pour un peu de peinturlurage…

 

Voilà, le vert je ne l’ai pas choisi, puisque j’ai pris un pot qui restait… Mais bon je trouve que le résultat n’est pas si mal !

Et oui, comme vous pouvez le constater, j’ai peint dans l’appartement… Aïe aïe aïe… Et pas de plante dépolluante pour me sauver la mise… Mais je vais mourriiiiiir !!!

Il restait une semaine à Oscar pour utiliser sa smartbox aventure de l’an passé… Le choix s’était finalement porté sur Canoé sur le Lot, au pied de Saint Cirq Lapopie. Voici donc quelques photos de notre samedi après-midi, et de nos 2h30 de rame. J’avais mal aux bras, mais il faisait très beau et c’était super (pépère) !

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C’était très beau ; sur quelques photos on se croirait Boromir et Aragorn sur l’Anduin, quand ils passent l’Argonath.

Nous étions donc hébergés (presque) gratuitement chez ma chère Fusion Émilie. Le dimanche midi, les parents sont venus pour déjeuner au restaurant l’Auberge du vieux Cahors, qui servait un foie gras particulièrement fameux.

On a bu du bon vin de Cahors, et j’avoue que j’étais un peu soule. D’ailleurs il y avait aussi beaucoup de rhum dans la charlotte au chocolat…

Dans 5 jours maintenant (ce qui nous amène à lundi 12), nous nous envolons de Barcelone pour Lanzarote, îles des Canaries… Si vous voulez suivre notre petit périple, nous tâcherons de tenir à jour ce blog, en le garnissant autant que possible de photos, impressions, anecdotes, etc, etc…

Salut tout le monde !

Qui donc se cache-t-il derrière ce titre étrange…? Mais oui, vous m’avez reconnu (ou pas), c’est moi Oscar ! Je prends les commandes le temps d’un long week-end du 14 juillet pour vous conter nos pérégrinations sudistes. Qu’on se le dise !

Ainsi donc, pour profiter pleinement du climat parfait de Montpellier (à savoir, un soleil écrasant tempéré d’une brise délicate), il convient de poser les fondations de ce pont en commençant par un pique-nique dans le Parc du Château d’O (oui, nom étrange, les lettres coûtaient sûrement cher dans l’ancien temps). Nous en avons donc investi l’oliveraie, armés d’une salade de pâtes mirifique, d’un jeu de Citadelles et d’une bonne humeur inextinguible.

A moi, Stef, de raconter !!!

Nous avons aussi visité un site classé : la fameuse Saint-Guilhem le Désert, coincée entre l’Hérault et un affluent quelconque… Nous avons brillamment évité de payer le parking à touristes (en nous garant sur le bord de la route, à 1 km du village…).

Des rues typiques… Dans le village, les glaces 2 boules sont à 4 euros !! Alors on a faim mais on se retient… Oscar veut me faire monter jusqu’à la chapelle, mais je suis si fatiguée…!

Oscar dans une porte en cargneules, et derrière, le Château du Géant… La photo est prise dans la montée à la chapelle ; sous mon insistance, nous n’irons pas plus haut…

L’abbaye, ou la basilique, ou l’église de Saint-Guilhem. Nous ne l’avons pas visitée car Émilie n’était pas là.

Ensuite on rentre par les petites routes à Montpellier, entre vignes et garrigue, et on croise un écureuil et sa jolie queue touffue…

Profitons de la canicule clermontoise pour se balader un peu dans le Sancy (montagne vieille comme on apprend en CE2). Évidemment, nous n’avons guère pu nous lever tôt, impossible donc de grimper au Sancy proprement dit ; nous nous contenterons d’un de ses rejetons de Puy.

Notre choix s’est porté sur le venteux Puy des Tâches, que nous attaquons par le col de la Croix-Morand, où nous garons Saxox (la super Saxo d’Oscar !).

Admirez plutôt, c’est beau !! Au début il faut un peu monter, alors ça fatigue. Mais pas Oscar qui a une condition physique exceptionnelle (« je fais du vélo et je vais à la piscine, mon cœur va très bien !! »)

Donc comme je l’ai dit, il y avait beaucoup de vent, et donc de nombreux parapentes qui criaient leur joie (« Wouuuhouhouhou !!! »).

Il faut ajouter une pierre pour dire qu’on est passés, même si tout le monde s’en fiche ! Vous noterez que ce n’est pas moi qui porte le sac à dos, car je suis faible.

Oscar a un super chapeau qui lui va très bien (et qui ne peut pas s’envoler car il a une ficelle !!), et un tee shirt gratuit que j’ai eu en m’abonnant à Première.

Puy de la Vache et Lassolas

Publié: 30 octobre 2009 dans Santé & bien-être
 
Jeudi 29 octobre – Alentours de Clermont-Ferrand
 
Etant donné la clémence de la météo, nous sommes partis nous balader sur les Puys… (On notera sur les photos qu’on ne porte même pas de manteau, sans doute une nouvelle preuve du réchauffement climatique…?)
Une foule auvergnate s’était d’ailleurs donné rendez-vous sur le parking, ainsi qu’un régiment de l’armée de terre paré pour le Vietnam (antenne radio, bazooka, peintures camouflage sur le visage, armés jusqu’aux dents et air patibulaire) qui marchait en colonne et disparut bien vite dans la végétation.
 

Après une dure montée en marches d’escaliers (décidément, ils aiment bien faire ça en Auvergne), nous atteignîmes le haut du Puy de la Vache. Une superbe table d’orientation mal faite et un panorama sur une large gamme d’autres puys nous y attendaient.

Stéphanie manifeste sa joie par une grimace des plus esthétiques.

 

Grisés par cette première ascension, et malgré un point de côté qui me prit par surprise dans la descente, nous décidâmes de grimper sur le Puy d’à côté, celui de Lassolas…

Oscar fait le Corcovado sur Lassolas en regardant la Vache…